Trop préoccupés par les enjeux de productivité, les gestionnaires n’arrivent pas à consacrer suffisamment de temps aux fonctions de leader et de coach. Ce faisant, ils négligent un aspect essentiel de leur tâche, celle de favoriser le bonheur au travail des personnes qu’ils dirigent.
C’est ce que soutient Phillipe Laurent, un formateur et conférencier français spécialiste en ressources humaines. Selon lui, le gestionnaire peut et doit aider l’employé à développer son potentiel de manière responsable et il devient ainsi un “levier” de son bonheur au travail.
Un texte intéressant publié dans L’Express, où on utilise une expression peu courante, mais très parlante, le “bore-out”. Alors que le burn-out est souvent lié au stress, le bore-out, lui, est lié à l’ennui, l’absence de stimuli au boulot.